Anasse Kazib, champion des wokes et des islamo-gauchistes

À deux semaines de la clôture des remises de parrainages, un candidat fait grand bruit sur les réseaux sociaux. Anasse Kazib, soutenu par Révolution Permanente se fait le porte-voix des "exploités et des opprimés". Mis en avant par le Comité Adama, le cheminot est le candidat fer-de-lance des causes indigénistes et wokes en France.

Anasse Kazib. Ce nom ne vous évoque peut-être rien mais il est porteur d'un véritable phénomène. Apparu sur les écrans en 2018 dans l'émission les Grandes Gueules sur RMC, l'homme s'était fait remarquer lors de la marche contre l'islamophobie en novembre 2019. Syndicaliste Sud Rail, il était monté à la tribune en pleine marche pour exprimer son soutien à ses collègues licenciés pour avoir refusé de serrer la main d'une femme : « En tant que militant Sud Rail à la SNCF, je veux mettre un signal d’alarme là-dessus, parce qu’on a des collègues aujourd’hui qui se font licencier parce qu’ils ne disent pas bonjour, ils ne serrent pas la main, ils ne font pas la bise ». Le cheminot de 34 ans, originaire de Sarcelles, représente le mouvement Révolution Permanente (RP) à l'élection présidentielle. Fondé en 2021, après une scission au Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) d'Olivier Besancenot, certains membres reprochaient à ce dernier d'avoir "droitisé" le parti dans une tentative de rapprochement avec Jean-Luc Mélenchon et avaient alors décidé de fonder le média Révolution Permanente et d'en faire un organisme politique trotskyste. Largement lu et diffusé, le site du mouvement révolutionnaire déclarait, en mai 2020, avoir au moins trois millions de visites mensuelles. Chiffres qui ne sont pas à prendre à la légère tant Révolution Permanente est une officine de propagande woke et islamo-gauchiste.

"Ce sont aujourd'hui des révolutionnaires d'extrême-gauche qui appellent de leurs voeux l'avènement d'un monde nouveau sur les ruines d'un ancien monde dont ils prédisent indéfiniment l'imminent effondrement" écrivait avec une grande clairvoyance l'historien Pierre-Marie Dioudonnat dans les années 70. Anasse Kazib est de ces personnalités qui voient du fascisme partout. Bloqués dans les années 30, ces révolutionnaires de gauche ne voient pas la triste réalité de leur situation actuelle. Ce sont eux qui bâillonnent, qui interdisent et qui empêchent le bon déroulement de tout débat démocratique.

Convocation au commissariat pour rassemblement illégal

Récemment, dans une vidéo de deux minutes, publiée sur les réseaux sociaux, Anasse Kazib dénonçait sa convocation au commissariat du Ve arrondissement de Paris. Du haut de ses 128 parrainages validés,