« J’accuse » : la lettre d’un abonné au Président
22 février 2022
Monsieur le Président, 2021 s’achève enfin.
Cette année dont nous n’arrivions pas à voir la fin, rythmée par une insécurité chronique et le Covid laisse enfin place à 2022. Pour autant, des millions de Français comme moi sont loin d’être soulagés par cette année qui se présente. Tout d’abord car l’épidémie n’est pas partie définitivement et continue de contrôler notre quotidien mais aussi et surtout parce que les élections présidentielles arrivent et qu’elles ressemblent à une croisée des chemins.
Vous le savez sûrement, le quinquennat qui se présente marquera un tournant dans l’histoire de notre civilisation. La question migratoire, éludée durant de longues années a laissé place à une autre inquiétude majeure : la disparition de l’identité de notre pays. Il n’est plus question à l’heure actuelle, d’hypothétiser dessus, c’est un fait concret, réel. Il faut être dans une idéologie nauséabonde pour le contredire et je suis persuadé que vous n’êtes pas dans ce cas. Depuis trop longtemps, les gouvernements successifs, les médias et l’idéologie nihiliste de certains « intellectuels » ont confisqué à la France sa beauté, sa force et son esprit . En effet, sous couvert de bien-pensance, et par peur de vous opposer à la culture woke, vous êtes en train de laisser se désagréger une civilisation, la nôtre. Les codes et les valeurs n’existent plus, la société est de plus en plus composée d’individus rois qui ne pensent que pour eux en omettant les devoirs qu’ils peuvent avoir aux profits de droits qu’ils réclament sans cesse. En somme, nous ne faisons plus société, ne devenant que des agrégations de communautés qui, pour paraphraser Gerard Collomb, finiront par vivre face à face.
Alexis de Tocqueville parlait de tyrannie de la majorité. Pourtant, aujourd’hui, ce n’est pas elle qui a voix à la tribune mais celle des minorités.
Non à la tyrannie des minorités
Ce communautarisme est exacerbé par une immigration folle que les gouvernements successifs ont laissé faire, malgré les risques encourus pour la population Française. Si encore, Monsieur le Président, vous demandiez à ceux qui arrivent sur notre sol de s’assimiler… Mais visiblement, c’est trop demander. Pour tous les dirigeants passés après le Général de Gaulle, l’étranger prévaut sur le Français. Des populations arrivent chez nous et on ne les enjoint pas à adopter notre mode de vie, prétextant que la diversité est une richesse. Effectivement Monsieur le Président, accepter la différence est important, se mélanger l’est, découvrir de nouvelles cultures l’est également. Mais pas au détriment de la nôtre. Il est important de préserver les spécificités de chacun, j’en suis conscient. Pour autant, dans l’espace public, notre culture doit prévaloir. Ce sont nos écrivains, nos peintres, nos grandes personnalités, notre histoire et notre géographie qu’il faut mettre en avant. Mais ce serait mentir de dire que les minorités et l’immigration sont les seuls sujets qui menacent notre identité. Un ennemi aussi, voir plus pernicieux est en marche puisque vous nous le vendez comme notre allié le plus précieux ; l’Union Européenne. Cette institution créée dans le but d’instaurer un climat de paix durable et une entraide entre tous ses pays membre est en train de prendre petit à petit le pouvoir sur notre souveraineté. Ce qui devait être une grande force pour la France se transforme en une faiblesse que vous refusez aveuglement de prendre en compte. Désormais, c’est l’Union Européenne qui nous dit comment gérer notre pays, comment penser, quels sont les critères d’égalités, quels messages nous devons véhiculer etc. La défiance des Français vis-à-vis de ce mode de gouvernance n’est pas seulement l’apanage des « Gaulois réfractaires » comme vous les appelez mais, de plus en plus, de tout un peuple qui ne se reconnaît plus dans le message véhiculé.
Comment voulez-vous que les Français se sentent chez eux et aient confiance en l’Union Européenne quand la Commissaire à l’égalité, la maltaise Héléna Dalli, présentait un guide de bonnes manières inclusives à l’usage des eurocrates ? Noël était déconseillé tout comme les prénoms chrétiens, l’expression « les deux sexes » invisibiliserait les queers ou les intersexes et « citoyen » exclurait les migrants ou apatrides. En revanche, dans le même temps, le conseil de l’Europe n’avait aucune honte à faire la promotion du Hijab.
Comprenez-vous Monsieur le Président que le sentiment que l’on ressent est une colère froide à l’encontre d’un système qui voudrait déconstruire notre modèle de société ? N’en déplaise à votre gouvernement et aux instances Européennes ; oui la France est un pays Catholique, avec une histoire incroyable et une langue magnifique (que personne ne défend au sein de cette prétendue Union, je vous renvoie à l’interview de Jean Quatremer pour le média Livre Noir). Non, nous ne voulons pas de modèle déconstruit ou l’homme et la femme n’auraient aucune différence, parce que ça n’existe pas.
Vous passez votre temps à parler d’écologie et de défense de la nature en niant celle qui est en nous. Cette perte d’identité s’accompagne également d’un sentiment de repentance généralisé que nous devrions ressentir au regard de notre histoire. Ne vous en déplaise, vous avez largement contribué à ce climat délétère par le biais de déclaration toutes plus insultantes les unes que les autres et dont la première qui me vient en tête est la suivante ; « Il n’y a pas de culture Française, il y a une culture en France »… Quelle honte, Monsieur le Président. Alors oui, à cette époque, vous n’étiez pas le chef de l’état. Mais quand on postule la fonction suprême, on doit être celui qui transpire le plus l’amour pour la France.
Et puis, Monsieur le Président, à la menace de la disparition de notre identité vient s’ajouter celle de l’insécurité chronique dans laquelle nous vivons. Je sais très bien qu’en hautes instance, vous pensez et vous déclarez, par la voix de votre ministre de l’injustice, M. Dupond-Moretti, que la France n’est pas un coupe gorge et qu’il ne s’agit que d’un « sentiment d’insécurité » et pourtant Monsieur le Président… Pourtant vous connaissez les chiffres auxquels vous avez réagi ; 350 000 agressions de Janvier à Juin 2021, soit 1950 agressions par jour. On ne peut plus parler de « sentiment » mais de faits. Vous avez même déclaré à ce sujet : « C’est un combat social : la violence s’ancre d’abord dans les quartiers les plus pauvres, parfois délaissés au point que les difficultés économiques et sociales se sont enkystées, elle touche d’abord les plus modestes ». Voilà comment dédouaner ceux qui agressent… « Quartiers délaissés » qui pourtant sont inondés de milliards d’euros dont on ne sait pourquoi ils sont utilisés.
Et les campagnes Monsieur le Président ? Ne sont-elles pas délaissées ? Pour autant, entends-t-on parler de voitures qui brûlent ? De policiers agressés ? La seule justification de la pauvreté n’est-elle
pas démodée ? Et la violence des agriculteurs qui se suicident parce qu’oubliés de notre beau gouvernement ? Enfin Monsieur le Président, je ne cautionne pas le geste de Damien Tarel et jamais je ne défendrais la violence à votre encontre et à l’égard d’une fonction que je respecte et que j’estime. Mais ne pensez-vous pas que ce geste est rendu possible par un abaissement de la fonction que vous représentez et à laquelle vous avez participé ? La photo du doigt d’honneur, vos mots, phrases insultantes, la vidéo tournée avec Mc Fly & Carlito, le discours dans lequel vous montrez leur photo juste après l’évocation de la mort de Samuel Paty.
Autant d’instants où le costume de Président semblait trop grand pour vous. Vous n’êtes évidemment pas le seul responsable de l’état de notre Pays, et il reste bien du monde à pointer du doigt pour tous les problèmes que nous rencontrons. La déconstruction de la France a été un processus lent, mené sur tous les fronts depuis Mai 68, qui a été le point de départ de cet enlisement, puisqu’un an plus tard, le seul grand homme politique de cette 5ème république, démissionnait. Aussi Monsieur le Président, permettez-moi de reprendre le modèle cher à Emile Zola, (en toute humilité et avec infiniment moins de talent) en énonçant et accusant ceux qui, à mon sens, sont coupables du déclassement et de l’idéologie mortifère de la France.
J’accuse
J’accuse le gouvernement d’avoir instrumentalisé et organisé une immigration en sachant pertinemment les risques qu’elle pouvait engendrer. Je l’accuse également d’avoir relégué au second plan nos compatriotes et de favoriser l’étranger au détriment du concitoyens. Vous et vos prédécesseurs avez sciemment dévoyé l’esprit de la 5ème république pensée par le Général de Gaulle. Du pouvoir au peuple, nous sommes passés au pouvoir sur le peuple dans des logiques partisanes ayant pour but vos élections, voir vos réélections. L’aveu de cet abandon de la démocratie résonne encore par le biais du référendum de 2005 où les Français ont dit non à votre constitution Européenne que vous avez quand même fait passer par des traités de remplacement contre la volonté du peuple (par ailleurs, Jacques Chirac avait refusé que les racines Chrétiennes de l’Europe soient mentionnées dans le texte, tout est dit…). Je vous accuse aussi, d’avoir fait preuve de lâcheté dans la gestion de la sécurité et de l’ordre dans les banlieues. Vous avez depuis trop longtemps acheté une paix sociale par le biais de milliards d’euros en faisant preuve d’un laxisme criminel. Ces zones de non-droits où les policiers et pompiers ne peuvent plus se rendre sont de plus en plus nombreux et dangereux. Il est anormal que sur notre sol, ce soient les criminels qui fassent la loi. Il est grand temps de prendre des mesures fortes avant de vous retrouver avec une guerre civile sur les bras.
Car non, Monsieur le Président, ce ne sont pas vos adversaires politiques qui l’amène. Elle ne sera que la résultante d’une politique laxiste et d’un état fantôme sur ces sujets, dont vous et vos prédécesseurs êtes les acteurs principaux.
J’accuse l’Education Nationale d’avoir depuis plusieurs années, répandue une idéologie de bien-pensance, de repentance vis-à-vis de notre histoire, et abandonné sa fonction d’instruction dans le but d’éduquer, selon ses dogmes, les enfants qui sont sur les bancs de l’école. Je l’accuse également d’avoir abaissé le niveau de notre système scolaire et d’avoir relégué au second plan l’apprentissage de notre histoire et de notre géographie. A trop vouloir une égalité parfaite et faire en sorte que tous les enfants soient au même niveau, vous avez nivelé par le bas les programmes et par extension, les cours. Enfin, il est temps de redonner du pouvoir à tous les enseignants et de les enjoindre à faire régner l’autorité dans les salles de classe, avec le soutien de l’administration. Nous avons déjà vécu un épisode
Samuel Paty parce que les hautes instances avaient été trop lâches pour soutenir un professeur qui était dans son bon droit et qui n’avait rien à se reprocher.
J’accuse la justice d’une trop grande indulgence envers les criminels parfois récidivistes. Quel est l’intérêt pour nos forces de l’ordre de les arrêter si le seul sentiment qui règne est celui de l’impunité et non celui de la peur d’une sanction ? Il faut rapidement réinstaurer une justice forte, qui n’a qu’un seul but ; punir ceux qui ne respectent pas la loi. Il est temps de redonner du crédit à notre police qui fait de son mieux pour faire respecter l’ordre. Quel message leur renvoi-t-on quand ceux qu’ils arrêtent sont relâchés aussi vite ? Quand l’impunité est telle que des personnes se permettent de les filmer en les insultant ? Que doivent penser les personnes qui résident dans ces zones à risques dans lesquelles ils n’ont plus le droit de vivre normalement parce que vous passez votre temps à acheter une paix sociale et excuser les criminels ?
J’accuse les médias d’avoir diabolisé tous ceux qui ne rentraient pas dans leurs cases idéologiques et d’avoir, depuis trop longtemps, confisqué le débat afin d’imposer une pensée unique. Nos impôts sont utilisés pour financer un service public qui ne débat pas mais qui tente d’imposer et qui se réunit en microcosme afin de ne pas avoir à confronter ses idées. Ces mêmes médias qui crient à la censure et au « pas d’amalgames » à tout bout de champs qui mais ne s’empêchent pas de chanter « Jésus est pédé ». Il suffit d’un mot ou d’une pensée contraire à la docsa pour que quelqu’un devienne un parjure qui n’a plus droit de cité sur les plateaux télévisés ou en radio. J’accuse les prétendus écologistes d’instrumentaliser cette cause par le biais de mesurettes qui n’ont pas de sens. Vouloir imposer des éoliennes au détriment du nucléaire, fleuron de l’industrie Française est une hérésie. Ces prétendues énergies vertes qui ne fonctionnent que 30% du temps et qui nécessitent l’utilisation des usines à charbons (ce qu’il y a de plus polluant).
Je les accuse également de mélanger des concepts fallacieux pour tenter de capter un auditoire, l’éco-feminismes par exemple. De plus, comment se fait-il que Paris, seul décisionnaire, peut décider d’installation d’éolien a la campagne sans consultation préalable avec les territoires réceptif ? D’autant plus, en sachant, les effets nocifs qu’ils peuvent avoir sur la population ? J’accuse les racialistes, d’imposer une guerre de civilisation larvée au quotidien. Vous passez votre temps à accuser les Français et les blancs d’actes pour lesquels nous ne sommes en rien responsables. Pour autant, vous faites preuve d’une grande indulgence quand les crimes que vous reprochez aux Français sont commis par d’autres minorités. Vous fustigez les Français pour les colonies et l’esclavages en omettant toujours d’évoquer les traites arabo-musulmanes et interafricaines (toujours en vigueur d’ailleurs…)
Vous fantasmez un récit de combattant et d’opprimés que vous n’avez jamais vécu et vous vous offusquez quand on vous grime en ces termes dans un magazine… Vous et vos proches brandissez la liberté d’expression pour défendre un pseudo artiste qui chante « pendez les blancs », ne voyez aucun soucis quand la tête de Marine le Pen est mise sur un pique, que quelqu’un sous-entend qu’on peut décapiter Emmanuel Macron mais ne la supportez plus quand elle s’attaque à vous. J’accuse par ailleurs ces politiques moralisateurs et communautaristes qui jouez le jeu de ces racialistes pour vous acheter une bonne conscience. Vous revendiquez une suprématie blanche par le biais d’un concept justement crée par une femme qui l’était, celui de « white privilège ».
Cette idéologie, Monsieur le Président, vous en êtes aussi responsable. Vous savez que les mots, ont une signification et une importance, aussi quand vous « commémorez » plutôt que de « célébrer » Napoléon, vous renvoyez encore une fois l’image d’un pays qui devrait se repentir de son histoire et de ceux qui l’ont faite.
J’accuse toutes les idéologies mortifères et déconstructivistes qui voudrait casser les codes d’une France qui avait peut-être un des plus beaux modèles de société. Dans ce cadre, j’accuse les féministes modernes d’avoir dévoyé le combat réel aux profits de luttes inutiles et sans intérêt. Vous vous imaginez être les égales de Simone Veil alors que vos plus grands combats se trouvent dans l’écriture inclusive ou dans le droit à l’épilation que personne ne réfute. Vous jugez le temps de nos ancêtres avec les yeux condescendants de notre époque en vous imaginant plus intelligentes, plus avancées et plus cultivées. Vous vous contentez de balancer des chiffres qui n’ont aucune valeur, dans le seul but de marquer les esprits. Il suffit de regarder les mensonges utilisés pour choquer l’opinion sur les inégalités salariales. Afin de nourrir votre vindicte contre le prétendu patriarcat qui gérerait notre société, vous n’hésitez pas à duper en vous faisant le relais d’informations fausses. Non, Mesdames, vous ne travaillez pas gratuitement à partir du mois de Novembre, ce ne sont que les fantasmes de féministes qui veulent vous monter contre les hommes.
Enfin, vous jugez la place de la femme dans la société à travers 100 ans de l’histoire de France. La chance que vous avez, comme tous ceux qui n’ont pas d’arguments ou qui se sentent esseulés face à une opposition les démontant points par points, c’est qu’il vous suffit de crier au sexisme ou au « mansplainning » pour justifier vos échecs. Et par le biais d’une logique inexplicable, vous défendez l’immigration et la non-assimilation, alors que les gens qui arrivent en France sont bien souvent issus de pays où le patriarcat est vraiment appliqué et où la femme n’a que peu de valeur.
Je les accuse également de vouloir casser les codes familiaux. A l’heure où les modèles sociaux sont l’homoparentalité, la coparentalité et où la PMA et la GPA se démocratisent, la famille traditionnelle ne sera bientôt plus que le vague souvenir d’une époque révolue. Il suffit juste de jeter un oeil sur les programmes Netflix pour comprendre quelle idéologie on tente de nous imposer… C’est d’autant plus dangereux que cela commence dès le plus jeune âge, où des enfants de 6 ans demandent à changer de sexe. Est-ce que l’on peut réellement penser qu’à cet âge-là, cette idée vienne de lui ? Et quelle sera la prochaine étape ? On décide du sexe avant la naissance ? Le transhumanisme est-il l’horizon que l’on souhaite pour notre société ?
Monsieur le Président, je pense que vous pouvez le voir, cette époque me fait peur, je ne pense pas que la modernité et le progrès soient toujours bénéfiques, loin de là. A force de mettre en avant toutes les minorités et de vouloir appliquer des concepts importés des Etats-Unis, nous allons nous retrouver avec un Evergreen national où nous devrons nous excuser tous les jours d’être blancs, français et hétéro. Le seul espoir qu’il me reste est de voir que ces minorités, bien souvent, se contredisent et se dévorent entre eux. La gauche bien-pensante est en train de se faire rattraper par ce qu’elle a créé ; les injonctions de ces minorités sont de plus en plus régulières et extrémistes. Monsieur le Président, ce texte est un vrai cri du coeur. Arrêtons d’accompagner cette France millénaire et magnifique sur le gibet.
Vous aurez beau écouter toutes les revendications des minorités, il y aura toujours des personnes plus extrémistes qui finiront par vous amener à l’implosion et la guerre civile. La tradition a du bon et une société doit être régie par des codes, par des citoyens qui ont conscience de ne pas avoir que des droits, qui doivent faire société et qui ne doivent pas vivre que pour eux En tant que chef de l’Etat, il vous incombe de faire en sorte que la France, son histoire, sa gastronomie, sa culture et son art de vivre rejaillissent sur le monde entier. Vous êtes le premier ambassadeur de notre pays et vous vous devez de le défendre comme vous l’avez fait sur le thème de la liberté d’expression. Ne vous méprenez pas, les Français ne veulent pas gommer le passé. Nous voulons juste arrêter de devoir nous repentir pour des actes sur lesquels nous ne sommes en rien responsables et qui s’inscrivent dans une autre époque. Est-ce qu’il faut reprocher aux Allemands la seconde guerre mondiale ? Non, certainement pas. Alors, appliquons la même chose chez nous et arrêtons de jeter de l’huile sur le feu. Le modèle déconstructiviste que l’on tente de nous imposer n’augure rien de bon et je suis persuadé que vous le savez, du moins je l’espère. Il est temps de prendre des mesures rapidement où ce sera sur les cendres de notre pays que nous vivrons.