Infiltrer les associations d’éco-activisme, c’est entrer dans l’univers parallèle des progressistes. Les codes sociaux, les noms, la manière de s’habiller ou de dire comment on va : ces militants vivent dans une société pseudo-inclusive où règne un illusoire « safe space » visant à éviter toutes les oppressions et micro-agressions… Mais seulement à l’intérieur de cette même société. En-dehors, dans le monde patriarcal, écocide et raciste, tout est permis.
Si le réel n’existe pas, tout est permis
Le vol dans un magasin ? C’est une « auto-réduction ». Une personne au milieu d’une autoroute qui bloque tout le monde ? C’est une « abeille ». Être embarqué pour avoir commis une action illégale ? C’est subir la «
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