La catastrophe n’aurait-elle fait que commencer ? Haïe par à peu près tout le monde, critiquée pour ses excès fédéralistes et autoritaires, attaquée pour ses innombrables mauvaises décisions, Ursula von der Leyen ne s’en rêve pas moins à nouveau présidente de la Commission européenne. Le pire, c’est que cela pourrait bien arriver.
Un bilan, plusieurs échecs
Proposée en 2019 par le couple Macron-Merkel, Ursula von der Leyen avait tout pour ne pas réussir. Centriste jusqu’au bout des ongles, c’est par l’éternelle alliance entre les sociaux-démocrates, les centristes libéraux et le PPE qu’elle sera élue. Théoriquement issue de la CDU allemande où elle a été, selon beaucoup, « la pire ministre de la Défense », von der Leyen n’a cependant pas eu de peine à se repositionner au centre-gauche avec le temps.
Le règne d’Ursula von der Leyen est d’abord et avant tout celui du fédéralisme européen et de la centralisation bureaucratique des pouvoirs à Bruxelles. Du « green deal » au plan de relance européen post-Covid, des centaines de milliards d’euros ont é
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2 commentaires
C’est le genre de personnage qu’il faut absolument empêcher de nuire davantage. Stop !
Cette “politique” “Diaphane” , “transparente” , sans veritable charisme, passe son temps à discourir en Anglais qui devrait être une langue “obsolete” pour l’U.E. because le Brexit!
Alors que le Français qui est la 2ème langue officielle des organismes Internationaux, ne semble pas avoir bonne presse auprès d’elle